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Le patron du Missyl : « Les ''il se dit que, il paraît que'', c'est un truc de ouf à Pontivy ! »

Par Rédaction Pontivy Publié lePontivy JournalVoir mon actu

Votre principale qualité ?

Je suis très à l’écoute, que ce soit avec le personnel ou avec les clients. Je ne considère pas les employés comme du personnel, c’est une grande famille et ils le savent.

Quand quelqu’un ne va pas bien, on est là pour lui remonter le moral. La vie, c’est ça, des hauts et des bas. À l’inverse quand je n’ai pas le moral, mon équipe est là pour moi. C’est familial. Avec les clients, c’est pareil. Quand un client a besoin de parler, on est là.

Votre principal défaut ?

Avant, j’étais impulsif. J’ai appris à ne plus l’être. C’est comme le vin, en vieillissant, il devient bon. J’ai pris l’exemple du vin, en vieillissant, je deviens bon (rires) ! Je suis rarement en train de ne rien faire. Je ne sais pas me poser.

Si vous étiez un des sept péchés capitaux ?

La gourmandise. Je suis gourmand !

Votre gourmandise préférée ?

Le chocolat ! J’aime bien le chocolat noir. Maintenant, j’évite, ce n’est pas bon pour ce qu’on a (rires) !

Votre loisir préféré ?

J’ai un loisir assez particulier : je suis président du Souvenir militaire Centre-Morbihan. Je suis l’un des quatre créateurs de cette association. On a fait notamment la reconstitution d’un camp devant le collège Charles-Langlais. C’est mon loisir préféré. On m’a fait connaître ce milieu, et j’ai ensuite découvert que j’avais de la famille, le frère de mon grand-père, qui était dans la résistance sur le bassin pontivyen. Il est mort à Kerlogoden.

Une anecdote professionnelle amusante ?

Le patron du Missyl : « Les ''il se dit que, il paraît que'', c'est un truc de ouf à Pontivy ! »

J’ai un dicton : ce qui se passe au Missyl, reste au Missyl (rires) ! C’est ma règle !

Le bruit que vous détestez par-dessus tout ?

Au Missyl, le micro qui fait wouiii ! Autrement, une fausse note !

Le métier que vous n’auriez pas pu faire ?

J’ai travaillé un peu dans tout. J’ai travaillé à la ferme, dans l’élevage porcin. J’ai été électricien, DJ. Je pense que j’ai la fibre relationnelle. Travailler en usine, je ne pourrais pas. Je l’ai fait, mais j’ai vite compris que ce n’étais pas mon truc. Je ne peux pas travailler à la chaine, je suis admiratif des gens qui le font. Je m’ennuierais vite.

Votre juron préféré ?

Bordel de merde ! C’est peut-être lui… Il y a le mot merde dedans, c’est sûr (rires) !

L’époque à laquelle vous auriez aimé vivre ?

L’époque avant-guerre, les années 38, 40, quand l’évolution des choses arrivaient. Aujourd’hui, tu as à peine inventé un truc que c’est déjà dépassé. À l’époque ce n’était pas ça. C’est sûr que la guerre était beaucoup moins agréable.

La question qu’on vous a trop posée ?

Il parait que ou on dit que… Je réponds : tu diras à»on », qu’il est un con. Les « il se dit que, il paraît que… », c’est un truc de ouf à Pontivy !

Votre boisson préférée ?

Le Coca-cola. C’est très américain (rires) !

Votre drogue au quotidien ?

L’envie d’aller de l’avant tout le temps. On m’a toujours dit que j’étais courageux.

La chanson qui vous donne la pêche le matin ?

La chanson de la coupe du monde 98 !

Votre philosophie de vie ?

Depuis la crise Covid, ça pourrait être : vivre au jour le jour, mais en profitant de la vie. On ne sait jamais ce que demain nous réserve.

Le Missyl, 7 rue du Caire. Ouvert le jeudi, vendredi, samedi et dimanche de minuit jusqu’à la fin de la nuit.

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